Epoque contemporaine

Au cours du 19ème siècle, la médecine évolue de plus en plus. Avec le classement des différentes maladies selon leurs symptômes, leur récurrence ou encore la manière de les soigner, les traitements se précisent .

On procède encore aux saignées et les traitements de ce genre et pour les cas les plus graves, le recours à la camisole et autres moyens d’immobilisation étaient permis. Désormais, les médecins prescrivent des médicaments afin de calmer les malades. Cependant, on ne peut toujours pas les guérir totalement mais on essaye de rendre leur état stable. L’asile d’aliénés est toujours maintenu mais prend le nom d’asile psychiatrique. Ces asiles ressemblant à des prisons étaient construits en campagnes pour permettre aux « aliénés » d’avoir de « l’air frais » mais aussi pour les isoler d’une certaine manière de la société.

ALF_Th_EC_medoc

Au 20ème siècle, plusieurs sortes de médicaments voient le jour. Les neuroleptiques, telle la chlorpromazine sont utilisés pour leurs effets tranquillisants sur les patients souffrant par exemple de troubles bipolaires ou de schizophrénie. On peut ensuite classer ces neuroleptiques en trois catégories, les typiques, les atypiques qui causent moins d’effets secondaires et les neuroleptiques cachés dont font partie les somnifères. Pour équilibrer ou plutôt stabiliser les humeurs des patients souffrant d’hypomanie, on se servait d’antimaniaque. Dans cette catégorie on retrouve d’ailleurs le lithium.

Les antidépresseurs connus de tous sont bien sûr utilisés pour relever l’humeur dépressive jusqu’à atteindre de nouveau l’état normal. On peut aussi classer les antidépresseurs dans trois catégories selon leur structure.

Les personnes souffrant de stress utilisaient des anxiolytiques et la célèbre morphine connus de tous aujourd’hui fait évidemment partis des analgésiques ayant pour but de soulager la douleur du patient.

ALF_Th_EC_med

L’apparition des médicaments a certes entraîné la régression de la médecine psychiatrique mais celle-ci est toujours présente et reste pour la majorité, un très bon moyen de guérir certaines maladies mentales.

Article réalisé par :

Audrey M. – Marion B. – Amandine H et Émilie M.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *