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Hubert et l’hurluberluesque homme d’Hurles

 

Hubert lut que l’ hurluberluesque homme d’ Hurles avait la berlue.

 

L’ éberlué hurlait que les ululements d’ Hurles étaient cucus

 

quand il aurait fallu quintupler les cris lugubres des grues huppées,

 

provoquant des querelles chez les hulottes.

 

L’hurluberlu, libéré, quémandait sur le qui vive

 

que les ululements soit remplacés

 

par la « Truite » ou la « Quinquette » de Schubert .

 

 

un exercice de style,
sans Perec, ni Queneau,
à lire à tire-larigot sans hoqueter,
par :

Audrey M.

 

La nef des fous

Dans le film « Vol au dessus d’un nid de coucou », en 1975, Milos Forman, le réalisateur, veut faire réfléchir la société sur la place des malades mentaux.

Il faut savoir qu’au 20ème siècle, ils sont essentiellement pris en charge par des hôpitaux et des camps d’aliénés.

A travers son film nous pouvons voir apparaître certaines comparaisons, et façons de penser sur la manière dont les personnes considérées comme folles sont traitées dans la société, c’est ce que nous allons analyser. Nous observerons donc la scène dans laquelle McMurphy entraîne les autres patients évadés de l’hôpital psychiatrique à bord d’un bateau de pêche. La séquence se déroule entre 56minutes et 1h05min20s.

Tout d’abord, sur cette image apparaissant à la 56ème minute du film, nous pouvons voir Mc Murphy en compagnie de ses amis internés, prêts à l’embarquement sur un petit bateau de pêche . Ceux ci se font alors passer pour des médecins auprès d’un loueur de bateau.

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Ici, en comparant les médecins à leurs patients, le réalisateur semble montrer que le malade mental pourtant exclu de la société, fait lui aussi partie de celle ci et peut même devenir son propre médecin. De plus, avec cette image, on pourrait même arriver à se demander qui sont les vrais malades entre ces deux catégories de personnes, puisque ces patients, pourtant atteints de troubles, arrivent à semer la confusion dans l’esprit du loueur de bateau en jouant les rôles de personne dites « sages », en changeant simplement de costume et de lieu .

Entrons ensuite dans ce bateau… A 1h03min, au moment ou tous les évadés quittent leurs postes pour espionner Mac Murphy. On les retrouvent alors comme des êtres faisant partie intégrante de la société et doués d’émotions et de pulsions . On voit bien ici que ces patients sont animés d’une curiosité tellement puissante à l’égard de la « folie amoureuse » de Mc Murphy qu’il en arrivent même à abandonner le bateau dérivant sur la mer.

On peut d’ailleurs faire la comparaison de cette scène avec le tableau La Nef des Fous de Jerome Bosh peint en 1500.

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En effet, ce tableau représente un bateau dérivant, avec à bord des passagers visiblement différents, membres de la société (clergé, musicien etc.) , tous occupés aux plaisirs de la vie , ne se préoccupant aucunement du bateau en perdition. On retrouve ainsi la même situation dans cette scène. De plus on pourrait dire que ici, les malades à bord du bateau représente la société qui dérive, et même qui tournent en rond sans réelle contrôle de la situation .

Quelques minutes après l’abandon des commandes, le chaos s’installe, sur le bateau. Lorsque Mc Murphy ne trouve personne au gouvernail, la panique continue et la prise d’un énorme poisson impossible à attraper n’arrange pas la situation.

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Chacun essaye de se remettre à son poste. Mais là encore, on assiste à une confrontation cocasse entre deux malades, chacun voulant prendre les commandes du bateau !

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Avec une telle dispute à la barre, le bateau ne peut que se mettre à dériver et à tourner en rond !

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Cependant, d’une manière allégorique, le bateau tournant en rond fait allusion à plusieurs expressions, comme par exemple « tourner en rond », « Çà ne tourne pas rond ? », « Perdre le nord », « perdre la boussole », … . De plus, on peut voir à travers ces images, une allégorie des confrontations politiques stériles pour la prise du pouvoir, ici symbolisé par les commandes du bateau.

Pour finir, on peut comparer ces dernières images. D’un côtés les patients rentrant de la sortie en mer, à leur main, d’énormes poissons qu’on rapprochera de la photo suivante, celle du chef de l’hôpital, lui même médecin, sur laquelle on le voit tenir fièrement un poisson identique.

Les malades s’étant fait tout d’abord passer pour des médecins arrivent alors à accomplir le même exploit que celui ci. Cela montre que après tout, ces patients, jugés dépourvus de raison et d’autonomie, peuvent avoir les mêmes capacités, et sont même parfois similaires voir meilleurs que ceux qui sont supposés les soigner.

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Pour conclure, on peut dire que « Vol au dessus d’un nid de Coucou » est un film riche en interprétations et mériterait une plus grande analyse. Les 10 minutes que nous avons étudiées le montrent bien.

A travers cet extrait, Milos Forman utilise plusieurs procédés et expressions afin de montrer que, entre « fou » et « normal », il n’y a probablement pas autant de différences que les idées couramment répandues le laissent croire…

une lecture proposée par :

Myriam B. – Amandine H. et Audrey M.

Saint Hurlu et Pr. Berlu

Quand Saint-Hurlu ambiance l’usine à timbrés, le prof de lettres a la berlue…

un dessin animé réalisé sans casser aucun mur par :

Pauline P. – Hélène G. – Eugénie P. et Adrien M.

Albert Einstein

Albert EINSTEIN est né le 14 Mars 1879 à Ulm, Wurtemberg, Allemagne, dans une famille juive peu pratiquante. Son père, Hermann Einstein, était patron d’une usine électrochimique. Sa mère, Pauline Koch, était musicienne.

C’est son oncle, et non son père, qui donnera le goût au jeune Albert des mathématiques. C’est aussi grâce a son oncle qu’il va mettre en place la théorie très connue de la relativité ce qui prouve que malgré la maladie, il a pu mettre en place une théorie qui nous sert encore aujourd’hui.

Justement parlons de la maladie de Einstein car certains traits du comportement d’Albert Einstein laissent à penser qu’il ait pu être un enfant autiste, particulièrement, l’étonnement qui marque l’expression de son visage, ses cheveux en bataille, ses tenues vestimentaires négligées, son air un peu loufoque, toujours en contradiction avec la société bienséante et politiquement correcte ; d’autres traits sont plus pertinents : absence de langage jusqu’à l’âge de trois ans, réactions violentes d’opposition envers sa sœur ou d’autres personnes, enfermement sur lui-même et refus de communiquer avec les enfants de son âge.

Comme c’est l’un des scientifiques les plus reconnus et ayant entendu beaucoup parler de lui j’ai voulu savoir un peu plus sur ce personnage célèbre.

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un article de :

Nicolas S.